Nombre d'entre vous trouverons certainement cet article d'une évidence extrême. Tout au moins pour les anciens qui ont connu la vie avant les ordinateurs, les portables, les réseaux sociaux...

Les enfants en contact avec la nature sont moins anxieux, moins hyperactifs et développent l’empathie.

Des scientifiques hongkongais ont démontré que la relation avec la nature affecte le fonctionnement psychologique et le bien-être de l'enfant. Ce contact jouerait notamment sur les problèmes comportementaux, tel que l'hyperactivité.

Mais l'hyperactivité c'est quoi en fait ?

Définition : Un enfant hyperactif est un enfant dont l'activité motrice est augmentée et désordonnée, accompagnée d'impulsivité, de réactions agressives et de troubles de l'attention qui perturbent son efficience scolaire. Ces troubles doivent être en décalage net par rapport à l'âge et au niveau de développement de l'enfant pour qu'on puisse parler d'hyperactivité.

Quelle en est la cause ?

Les problèmes de comportements des enfants hyperactifs sont d'ordre neurologiques. Le dysfonctionnement cérébral résulte en fait d'un trouble biochimique quantitatif qui concerne les neurotransmetteurs :manque de sérotonine et excès de dopamine. L'hyperactivité proviendrait à 75% de causes biologiques

Et les symptômes ?

-manque d'attention soutenue
-incapacité à se concentrer
-instabilité émotionnelle
-impulsivité
-difficulté à obéir
-signes neurologiques mineurs comme incoordination motrice fine...

Ceci dit, vous en conviendrez ou pas, mais avant toute cette technologie ; à l'époque où les enfants pouvaient se dépenser dehors, courir, jouer, rire, s'inventer au quotidien, se défouler, développer son imagination... l’hyperactivité était loin des préoccupations. Pour avoir côtoyer moult enfants au travers de mon travail, à part ceux qui avaient des difficultés relationnelles dans leur famille, ce problème était inexistant. Et, je ne pense pas que l'on pouvait parler d'hyperactivité, mais plutôt d'une sourde colère qui envahissait ces enfants en mal d'être... La preuve en est que le contact avec la nature atténuerai les problèmes d'hyperactivité. Ce n'est pas pour rien du reste que des séjours détox sont organisés même pour les adultes...

Par ailleurs, il y a quelques années en arrière des "expériences" avaient été faites auprès d'enfants scolarisés. On leur donnait un "régime" sans soda, sans sucre, une alimentation saine, etc. Bingo : on constatait sur les sujets tests et ceux qui n'avaient aucun changement dans leurs habitudes alimentaires, une nette amélioration des comportements. Au terme de "l'expérience" non seulement les parents étaient partant pour poursuivre dans le sens d'une meilleure alimentation, mais même les enfants adhéraient à cela, constatant leur mieux être...

De nombreuses communes bougent positivement pour leurs habitants et l’environnement. En voici, en bref quelques exemples :

La Ville de Grande-Synthe continue son rôle pionnier dans la transition écologique et sociale. Damien Carême veut remettre en place le Minimum Social Garanti pour éradiquer la pauvreté qui touche environ 33 % des foyers de la commune. En France, le seuil de pauvreté est établi à 855€ par mois. « Voilà une piste que l’Etat devrait suivre rapidement : prendre les milliards du CICE qui ne créent aucun emploi mais enrichissent juste les plus riches, pour mettre en œuvre ce Revenu de Base..."

Logement passif, café participatif, cantine bio… Grâce à l'implication de ses habitants, le village breton fourmille de projets qui attirent l'attention du monde entier. «Small is beautiful» pourrait être la devise de Langouët. Le village de 600 âmes basé près de Rennes est en passe de devenir autonome sur le plan énergétique et vise l'indépendance alimentaire.  C'est Daniel Cueff, maire depuis 1999, qui a donné cette impulsion. L'élu s'appuie sur ses administrés pour réaliser les projets. Au point que, dans un contexte de chute des dotations publiques, le village a pu compter sur ses habitants pour financer ses expérimentations.

Beckerich, petite commune du Grand Duché de Luxembourg de 2 400 habitants, s’est imposée depuis de nombreuses années comme un exemple de commune verte. Grâce à des choix radicaux et concrets en matière de développement durable, économies et productions alternatives d’énergie, valorisation des ressources locales, démocratie participative approfondie, rénovation rurale..., Beckerich est en route vers l’indépendance énergétique, qu’elle vise d’ici 2030.

Faire des Flagiens les acteurs de leur quotidien : telle était l’ambition de Jacques Drouhin:

- Un ancien terrain en friche a vu pousser 400 pieds de vigne entretenus de manière écologique.

- Ce sont des habitants encore qui jouent les ornithologues et s’occupent de la soixante de nichoirs installés à Flagy pour abriter chouettes, chauve-souris et autres martins pêcheurs. 

- D’autres se chargent d’entretenir le cimetière – sans produits phytosanitaires – et mènent une réflexion, avec des élus, sur la manière d’en sauvegarder le riche patrimoine.

Un collectif citoyen interpelle nos maires pour les aider à se préparer à l’effondrement : SOS Maires est un cri d’alerte adressé aux élu-e-s pour mieux préparer les communes rurales à s’organiser et préparer l’effondrement. L’objectif est qu’elles soient résilientes en cas de choc, et continuent d’apporter les ressources vitales à ses habitant-e-s.

D'autres communes quant à elles, lancent des journées écocitoyennes pour faire le nettoyage des rivières et ancienne décharge

La trilogie des gemmes ?
Mais qu'est que c'est ?
___________________________

___________________

Mon avis... sur les films

___________________________

Super je veux voir les films !
Mais où puis-je les trouver ?
____________________________

__________________

Et toi ?
Es que tu as vu les films ? Si oui, qu'en as tu pensé, qu'elle est ta note ?
Si ce n'est pas le cas, est-ce que cet article t'as donné envie de les voir ?

Laissez moi donc vous conter mon expérience de la hutte de sudation.

Une connaissance qui avait eu vent d'un tel événement me fit part de ce weekend organisé et j'avoue qu'à l'époque j'étais un peu mitigé ; d'autant que les gens qui se pavanaient avec une plume dans le derrière il y en avait pléthore. Certes, certaines traditions gagnent à être connues et partagées, pourtant il est essentiel de les protéger et les utiliser avec respect.

Ceci dit, j'ai accepté histoire de voir de participer à ce fameux weekend qui m'emmena dans les traditions chamaniques.

La première chose dont je fut surprise était que trois jours avant le départ, tous les soirs dès que je sortais, une chouette blanche venait tournoyer au-dessus de ma tête. Sur le coup, je n'ai pas fait le lien. Mais il faut reconnaître que c'était assez étrange.

Vint le fameux jour où nous sommes parties entre copines faire cette virée vers des traditions qui jusque lors me semblaient totalement inconnues.

N'en déplaisent à grand nombre de participants(es) de ces manifestations, j'étais sur la réserve. Des plumes dans le derrière il y en avait beaucoup en ces lieux. J'observait de loin, ne sachant trop que faire et ce qui allait se passer.

L'étrangeté annoncée par la chouette s'est poursuivit durant ce weekend, à commencer par la fabrication de la hutte. Celle dans laquelle nous devions officier avait été balayée quelques jours auparavant dans une tempête. Ah drôle de coïncidence. Surtout quand il s'est agit de se proposer comme volontaire, les autres activités "uluburlesques" ne me convenant pas.

Quoi de mieux que de construire ? N'est-ce pas ce qu'il y a de plus terre à terre ?

Me voilà donc écoutant les instructions pour aller couper les branches qui serviront à la fabrication de la dite hutte. Tout à coup, me munissant du matériel et des offrandes pour remercier les arbres, je suis partie œuvrer sans relâche. Tant et si bien que je n'ai rien vu venir.

J'ai coupé, creusé les pré-trous pour enfoncer les branches, construit la hutte, creuser le centre qui recevrait les pierre, emmener la terre pour le tertre et tout cela sans m'arrêter une seconde, déployant une force dont je ne savait d'où elle venait.

Quand j'eu fini et qu'il ne restait que les toiles à mettre sur la hutte je me suis arrêté et j'ai regardé le résultat.

Tout à coup, une des personne qui devait participer à la construction m'a lancé comme ça :

"Tu es sûre que tu n'avais jamais fait ça avant ? 
- Ben non, pourquoi ?
- Ah juste parce que tu as tout fait comme si tu en avais déjà construite plus d'une..."

Et tout ce qui a eu trait à la hutte de sudation a continué dans la lancée comme si effectivement j'avais déjà vécu ce genre de chose en d'autres temps... et la chouette à continuer à me faire signe jusqu'à la clôture de cet étrange weekend qui finalement m'a laissé avec plein de points d'interrogations qui m'ont amené à expérimenter d'autres aventures autour de ce thème...

Fiche d'identité :

Les petites * :

Fonctions du dieu :

• Il est le roi des enfers et des morts.
• Roi de la richesse et des profondeur de la terre, bien que cette attribution soit plus celle de pluton (sa version romaine) que celle d'Hadès.
  
  

Ses attributs sont :

• Cerbère, le chien à trois tête qui garde les portes de l'enfer
• La kunée, son casque d'invisibilité
• La corne d'abondance, souvent représenté la tenant dans sa main.
• La lance à deux fourches
• Le serpent
  
  

Principaux lieu de cultes :

Très peu de lieux de culte lui sont destinés, au point qu'un scholiaste de l'Iliade déclare qu'il n'en existe aucun. En réalité, la cité d'Élis, dans le nord ouest du Péloponnèse, possède bien un temple d'Hadès, ouvert une seule fois par an et seulement pour le prêtre du dieu.

Samothrace (sous le nom d'Axiokersos, époux de Perséphone-Axiokersa), Élis et Éleusis.