• ARTICLE DE Loupzen

     

    Mes craintes étaient de rencontrer une faiseuse de bel effet se servant de citations empruntées à d'autres « fulminant penseurs » pour donner de l'air à un blog vide.


    J'en ai plein de dos de ces gens qui se servent de ce qu'ont pensé un ou une autre pour vous asséner à grand coup de citations la marche à suivre dans laquelle eux ne seront pas capables de faire le premier pas.

     Voila quelles étaient mes craintes qui au moment des faits, n'étaient pas justifiées mais qui le furent dans un proche futur.

    Je re-cite ce que vous récitez si bien :

     

    '' La simple étude des livres ne vous servirait pas à grand-chose, bien que ce soit aussi indispensable.
    Ce qui vous aidera le plus, c'est de pénétrer personnellement dans le secret des âmes humaines. Sans cela tout ne sera toujours qu'artifice intellectuel ingénieux, paroles creuses et discours creux. ''

     

    Si pour certains la victoire est au bout du fusil, pour votre serviteur c'est l'Aventure qui se trouve sur son AZERTY.

     

    En me baguenaudant sur le WEB, j'ai répondu à une citation qu'une jeune femme avait placardée sur son blog.

    Étant du mois de juillet, je ne suis pas une balance (LION), je ne reproduirai donc pas in extinso l'échange virulent qui est né de nos dérapages de verbes hauts.

    En gros (''Comme j’aime '' lui étant inconnu ) l'invitation « à aller voir ailleurs si j'y étais »  m'a été lancée.

     

    Hic et nunc, in petto, (çà c'est pour Olivier ...)le Loup qui est en moi s'est pourléché les babines ….. y'a de la matière, je vais pouvoir planter mes crocs en un endroit que la morale qui exige d'être en ces lieux, m'interdit de nommer...

     

    « Je ne suis pas introduit dans votre univers par effraction, les lieux que nous fréquentons sur les « zéro-sociaux » sont ouverts à tous et notre présence est le résultat d'une invitation à partager, à commenter.

    Mon blog est un espace de liberté et mes nouvelles sont des témoignages de ce que j'ai vécu grâce à des rencontres et vous assure que j'ai pas besoin de comptabiliser les visiteurs il existe une vie avant et après nos billets ( en ce qui me concerne )

    Me permettez-vous de vous re-citer ( vous empruntez si bien la pensée des autres ) :


    « 
    La psychologie telle que je la comprends n'est pas seulement un quantum de savoir, c'est aussi une connaissance de la vie. »

     En compulsant les déclarations des autres que vous assénez dans cet espace, j'avais l'impression que vous aviez compris le sens réel de celles-ci, que vous les appliquiez en toute priorité vous même (charité bien ordonnée...) avant de conseiller vos lecteurs.

     

    « Toute personne chargée de s'occuper des problèmes de l'âme devrait posséder une certaine sagesse de la vie, reposant non seulement sur les mots mais surtout sur l'expérience. »

     

    N'obtenant pas de réponses, je me suis hasardé :

     

    Et bien cela nous fera donc une nouvelle expérience que nous pourrons exposer à loisir (si toutes fois l'expérience fait partie de vos écrits à venir)

    J'aurais vite compris que ce qui est bon pour soi ne l'est pas forcément pour les autres....et que faites ce que je vous dis mais pas ce que je fais est très présent à votre esprit....qui pourrait vous le reprocher ?

     

    Tout le monde ne doit pas savoir la même chose, et le savoir en question ne peut jamais être transmis à tous de la même façon...'''comme le disait ce bon vieux JUNG.

    Au fait on ne dit pas ''TRI'' mais '' SÉLECTION''.

     

    Vexée la demoiselle s'en est allée.

    De la voir ainsi dépitée de n'avoir su prendre un Loup dans ses filets ( je parle pas du poisson ) m'a ravi.

    Et comme ne l'a pas dit...Oh zut ! J'allais tomber dans le piège.

    J'avais envie de raconter cet épisode à un esprit ouvert qui ferme la porte aux cons et aux grincheux !

    Merci de m'avoir écouté.


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  • ARTICLE DE Loupzen

    Comme de vieux soldats nous allons donner des nouvelles du front.

    si j'osais je vous dirais qu'il s'est dégarni et qu'il a pris des rides.

    Après ces constatations dignes d'un spécialiste en gériatrie, l'humour, cataplasme sur jambe de bois, ne serait qu'illusion.

    Je m'adresse à ceux qui sont restés bien au frais, à l'abri d'une vie déjà éteinte.

    A ceux là, loin des batailles de la vie quotidienne, éloignés des zones de combats et de nos réalités je ne peux que leur «fournir » des nouvelles .

    Je creuse mes tranchées car je ne peux avancer  en ordre de marche...résister serait l'ordre du jour et prendre positon serait l'excuse d'un général attentiste.

    Pourtant de l'audace encore de l'audace et toujours de l'audace !

    Nous en avons eu Vous et moi .Non ce ne fut pas toujours Arcole mais parfois la morne plaine qui nous attendait, nos Waterloo durant lesquels l'Aigle baissait la tète. (Emprunté mais jamais rendu à ce bon vieux Victor HUGO).

     

    Mais faut il voir dans cet ordre un commandement donné à soi même ou donné aux autres une sorte de "en avant les autres » quant à Moi, je réfléchis avant de mettre les mains dans le cambouis !

    J'ai en souvenir des mots qui fusaient durant les combats de ma vie, dans des périodes troubles ou je ne savais plus à quels commandants je devais offrir mes jours, de ces instants fugaces qui, si j'avais été  maître de la décision à prendre , auraient fait de moi,  un héros ou un lâche.

    En avant, en avant...moi je reste à l’arrière, la différence est si mince



    J'ai cette certitude que c'est tendance de donner de l'élan aux autres, leur montrer à l'aide de citations empruntées aux multiples sites du web que «  Untel » a dit ceci et que « Truc-Machin-Chose » a dit cela.

    J'assiste à une déferlante des conseils des moralisateurs, des donneurs de leçons à la pelle.

    Mais quand vient l'heure du combat, de la confrontation de la fracture,où sont ils ces beaux et haut-parleurs ?

    Sur le net (ré-zéro-sociaux entre autre ) c'est le pompon !

    Ils effeuillent la marguerite des citations bonnes, très bonnes pour les autres, fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais !

    Les pires sont ceux qui brassent du vent. Ils tournent comme les ailes des moulins, attendant la venue d'un Don Quichotte pour hurler au secours et attirer l'attention sur leur morne vie....

    Ils se gargarisent et se délectent de succulents préceptes qui regorgent de sucré dégoulinant dans nos futurs esprits de diabétiques du bien faire et laisser dire.

    De quels droits ces empanachés nous donneraient ils des leçons de bonne conduite à venir , alors qu' ils n' en sont qu' au stade de l'apprentissage 

    Montre moi ce que tu as fait, ce que tu as accompli,

    Quels sont tes chefs d’œuvre,

    Où sont tes défaites,

    Quelles sont tes victoires,

    As-tu en mémoire le noms de tes compagnons de route que tu as laissés sur le bas coté car trop pressé de te sauver d'une situation périlleuse ,

    Te souviens tu de quelles façons tu as séché les larmes d'un enfant lorsqu’il a appris de ta bouche que son père ne reviendrait plus,

    Comment as tu affronté le regard d'une mère à qui tu venais offrir en ultime cadeau, ce qu'il restait de son fils .

    Vous trouvez que j'ai le croc dur alors que vous rentrez de vacances en provenance « de chez les Bisounours », il faudra vous habituer à cette façon de prendre conscience de ce qui passe dans notre environnement, si vous l’acceptez naturellement.








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  • Voici un article écrit par Loupzen

     

    PEUT IL Y AVOIR UN AVENTURIER SANS AVENTURE

    Le plus beau et le plus troublant des compliments que j'ai adressé à une femme a déclenché chez moi, une réflexion que j'aimerais partager avec vous.

    Je lui ai dit: "

    '' tu es à toi seule une aventure, tu as fait de moi un aventurier"

    Nous étions faits pour tirer de sauvages bordées, découvrir de nouveaux horizons et aborder à des rivages inconnus.

    Nous ne pouvons dissocier l'un de l'autre...nous vivons au travers de l'un comme de l'autre, elle est mon aventure et je suis un aventurier.

    L'aventurier se nourrit d'incertitudes, d'impondérables, d’ambiguïtés, il aime les énigmes et se mettre en danger, sa vie est faite de confrontations à des univers qui ne lui sont pas familiers, par goût de la découverte de l'inconnu, sans peur des risques et des dangers que représentent ces intrusions. Il est partant pour toutes nouvelles aventures qui se présentent à lui.

    L'Aventure  est une succession de péripéties, de rebondissements, de surprises, d'événements fortuits qui concerne une personne. C'est aussi une exploration d'un monde inconnu qui déclenche les passions.

    Cette explication pouvant être psychologique et physiologique. Elle a cette ambivalence, elle cherche et elle offre....

    Elle cherche le sel sur une peau tannée, le menton mal rasé du baroudeur, la main salvatrice qui lui tendra un expresso en lui disant « what else », un accord de guitare plaquée au coin d'un feu de bois sur une plage.... En contre partie elle offre (eh oui avec madame c'est donnant-donnant) des frissons, des promesses de vie nouvelle, des souffles coupés par les émotions.

    Que serait une aventure sans aventurier ?

    La notion de l’île déserte ne me convient pas, et bien que les fins de semaine soient promesse d'amusement, j'imagine Vendredi seul sur son île se faisant tartir en cherchant la Grande Aventure, il lui manque la présence d'un Merlin ou d'une Mélusine qui serait enchanté par un tête à tête... et plus si affinités.

    De même imaginez un aventurier ayant pignon sur rue, référencé dans tous les sites de rencontres, astiquant sa plaque professionnelle en cuivre fixée à l'entrée de son bureau façon profession médicale qui devrait se contenter d'aller chercher ses clopes au coin de la rue pour faire naître une poussée d' adrénaline.

    L'un a besoin de l'autre ou l'une a besoin d'un autre.

    Je vois d'ici les annonces sur l 'inter pas très net: 

    « aventurier, regagnant son port d'attache, propose escapade avec ou sans lendemain à une Aventure en quête d'un aventurier. »

    En un clic, bondissant pour répondre à l'appel d'un prétendant proposant « d'échanger temps libre contre journée normale d'une femme » elle martyrise son azerty (clavier de son PC...je dis çà pour les hermétiques) et lance sur le web :  

    « Aventure bouillonnante de promesses, accepte de tenir la barre de l'aventurier qui saura se lancer à corps perdu dans la course au septième ciel  avec ou sans escales » . 

    Sans escales....faudrait voir tout de même.... En considérant que le transport du corps peut être envisagé avec rapidité ( je plains l'Aventure qui fondait de gros espoirs dans la durée de la manœuvre questions des préliminaires...la vitesse en nœuds doit être prise en considération ) il ne faudrait pas oublier le ravitaillement essentiel à une traversée aussi rapide fut-elle.

    Un vieil adage de loup de mer que je livre à votre sagacité : ''  on n'embarque pas pour une traversée sans une ration de biscuits secs ''.....si non bonjour le radeau de la Méduse ...et autres tirages au sort pour savoir... ''qui, qui, qui sera mangé...ohé, ohé''

    l'Aventurier a besoin de temps de repos ne serait-ce pour recharger les batteries de son i-phone et de se refaire une petite santé.

    Il lui faut procéder à la mise à jour des cartes Michelin et Google Earth, et même parcourir '' la carte du tendre '' ( si chère aux Amants de Louis MALLE)

    L'Aventure à besoin de se auto alimenter pour se régénérer et pour pouvoir se montrer sous ses plus beaux attraits, de repousser les limites des continents afin d'en découvrir de nouveaux...mais l'un comme l'autre sont sur la même longueur d'ondes, ils sont en phase de rencontre et de communication.

    J'ai envie de fredonner cette chanson de Jean FERRAT « que serais-je sans toi qui vient à ma rencontre...qu'un balbutiement »

    La fonction crée l'organe...l'Aventurier n'existe que pour répondre et combler les désirs de l'Aventure....qui des deux est né le premier l’œuf ou la poule ?

    L' Aventure n'existe que pour contenter et répondre aux besoins de l'Aventurier...

    Et vous, Aventurier ou Aventure ?


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  • Un article de Loupzen

    Il apparaît que le mal des articulations est le mal du siècle : à bien considérer la question, je ne doute pas de cette évidence.

    Dans un dico. j'ai trouvé la définition du mot articulation .. Je vous ai entendu soupirer : « avec le Loup je crains le pire… »

    Ensemble des parties molles et dures par lesquelles s'unissent deux ou plusieurs os voisins.

    L'articulation devient alors le trait d'union entre les os.

    Drôle et intéressante vision des relations du voisinage par adjectifs détournés, la souplesse étant la panacée et la raideur la conséquence de bien des mal-êtres....

    Notre attitude serait donc conditionnée par nos relations de voisinage. En regardant bien les reportages à la télévision, je reste pétrifié par les dégâts causés par le manque d'empathie dont nous faisons preuve, à bien des égards, lors des brèves instants de communication.

    Musique trop forte, chiens errants, tondeuse à « Gaston »,voiture mal garée, « Jean passe et c'est pas le meilleur ». Ça coince entre les « os voisins »

    Il faut faire appel à un « médiateur » et dans ce cas précis, seul un homme de l'art sera compétent....JOKER : faites appel à un ami : Ostéo. ou Kiné.

    Que serait notre vie si nous ne pouvions articuler pour nous exprimer ?

    Articuler pour mieux se faire comprendre :

    Peut être faites-vous partie d'une troupe de théâtre et la diction n'est pas votre point fort.

    Pour renforcer votre élocution vous pratiquez des exercices de virelangue (ou casse langue ou fourche-langue) .C'est une locution ou une phase quasiment impossible à prononcer.

    J'ai choisi un exemple au hasard, lors d'un débat entre un Gilet Jaune et le président de la France :

    «Tu t’entêtes à tout tenter, tu t’uses et tu te tues à tant t’entêter ». De toute évidence, notre Président n'a rien, compris.

    Deuxième exemple, toujours pris au hasard lors d'un micro-trottoir, le soir des élections, au siège d'un parti d’extrême droite : « L’Arabe Ali est mort au lit. Moralité : Maure Ali, t’es mort alité. ».

    Est-ce un pur effet de notre imagination, je crois que ce mal du siècle est en rapport avec ce qui trotte dans notre tête.

    Nous finissons par créer ce que nous exprimons dans nos pensées .

    Au cours de vos soirées à pensées hautement philosophiques, avez-vous imaginé l'effet produit par le gourou Patrick SEBASTIEN dans son homélie :

    « Ha! Qu’est-ce qu’on est serré, au fond de cette boite, 
    Chantent les sardines, chantent les sardines, ».

    Les sardines rangées dans la boite, sans queue ni tête, façon escabèche, ont montré aux dirigeants d’Antenne 2 que Patrick étouffait dans son rôle...exit..par ici la sortie !...alors on n'attend pas Patrick !

    De là à penser que ce que nous exprimons par des « définitions n'ayant ni queue ni tête » n'ait aucun impact sur nos maux...j'expertise.

    Ne désirant pas tomber dans l’ornière du sempiternel et galvaudé :  « des mots pour des maux », c'est une démo tout autre à laquelle je vous propose d’assister... en espérant ne pas vous casser les pieds.

    Le dos et ses composants jouent un rôle capital dans notre évolution journalière.

    A quatre pattes nous nous extirpons du lit, du pied gauche, parfois et en quelques secondes, il faudrait se transformer en homo erectus.

    Se lever de n’importe quel pied « un petit pas pour celles et ceux qui en possèdent deux..un grand pas pour les adeptes du pas trop vite le matin et doucement l’après-midi ».

    Et si, Oh supplice suprême, votre moitié stationne son corps dans le lit que vous venez de quitter, il n'y a, à cette étape que le premier pas qui coûte, les mécanismes sont encore verrouillés, du super sans-plomb vous passez au diesel avec bougies de préchauffe en panne.

    Cette fâcheuse maladie que nous avons de porter le monde sur nos épaules.

    Cette habitude était largement utilisée pendant la féodalité et viendrait de l’antiquité grecque qui utilisait le proverbe pour exprimer une extrême insolence d’une personne, pour montrer sa dépendance absolue en le portant sur ses épaules.

    Saviez-vous queATLAS qui  est un Titan  condamné à soutenir la voûte céleste  pour l'éternité est aussi le nom d'une vertèbre , la première vertèbre cervicale (C1).

    Elle est en charge de  porter notre tête, trop pleine et trop lourde à porter (syndrome de LOUIS le 16 éme . Il faudra attendre l'invention du docteur GUILLOTIN pour couper court à cette souffrance, permettant de trancher net le débat.)

     

    Bon je vais arrêter là , l'énumération des occasions à nous faire du mal, car je cours le risque de ne pas faire de vieux os sur ce site.

     


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  • Le boomerang de Loupzen

    Ce merveilleux objet de communication aurait été inventé et utilisé à l'origine par le peuple aborigène.

    À ces véritables sauvages, qui ne connaissaient même pas l'internet ni la mode vestimentaire du " prêt-à-porter" on a fait croire que cet ustensile n'aurait aucun effet bénéfique sur leur civilisation et qu'ils pouvaient s'en laisser déposséder.

    Filou comme pas deux, l'Homme blanc a tenté de tirer profit de cet objet. Après de nombreux essais infructueux, dépité, il jeta au loin ce « foutu bout de bois » .
    Hors un boomerang a une trajectoire courbe, il est construit et lancé de telle sorte qu'il revienne vers son point de départ. C'est ce qu'on appelle l'effet boomerang.

    En langage plus compréhensible, si tu manques ta cible, alors l'objet, qui servait à assouvir ta vengeance, te revient dans ta face, sous le rire goguenard de cet ignare à qui tu voulais faire perdre la face.

    J'imagine très bien  Pemulwuy (1769-1802), ce résistant à la colonisation britannique se fendre la pêche en dégustant un verre d'un succulent Cabernet sauvignon, le soir au retour de la chasse, assis prés de son feu de camp.
    Ce nectar, provenant de la vallée Barossa en Australie méridionale, lui donne de la joie surtout lorsqu'il imagine l'Homme blanc Intelligent recevoir en pleine tronche l'objet jeté aux orties.

    Ce qui m'intéresse dans cette démarche, c'est la notion du temps.

    Nous savons par expérience que la distribution du courrier laisse à désirer au pays des Wallaby. Aussi fut instauré « le retour à l'envoyeur ».
    Dans le cas très rare lorsqu'un ami qui vous veut du bien vous invective et profère à votre encontre des paroles à faire pâlir tous les Marquis de Sade, combien de temps met un boomerang pour revenir à son expéditeur ?

    La réponse se trouve dans un sketch du regretté Fernand RAYNAUD elle concerne le temps que met un fut d'un canon pour refroidir : « Un certain temps ».

    «  un temps trop court à mon goût » bien que la vengeance nécessité un temps certain « à refroidir ».

    Si l'effet boomerang est universellement connu, ce peuple connaissait-il l'usage intempestif de la manivelle. ?
    Plus sophistiqué et plus moderne le « retour de manivelle » n'en est pas moins que la conséquence désagréable et inattendue d’une erreur passée.

    Au moment du retour de ce boomerang vengeur, on peut imaginer que «  pendant ce temps là je tournais la manivelle » pour ne pas perdre une miette de ce plat qui se mange froid.( « La manivelle  par WAZOO)


    Il est une coutume de dire que les inventions sont l'œuvre de fainéants, d’où l'invention du démarreur électrique pour la voiture et du S.M.S. pour les internautes.

    Je reconnais que l'anachronisme est flagrant. Pour cette nation d’aborigènes, autant demander à un «  bush man » qui s'exprime en langue khoïsanes qui
    incorpore des clics (consonnes inspirées) de traduire une phrase en langue des signes ! (Film les dieux sont tombés sur le tête ).

     


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