• Comment faire une capture d'écran ?
    Dépendant du clavier que tu as, il y a plusieurs façons, sur un clavier d'ordinateur portable, il te faut trouver la touche "imp écr" (tu peux cliquer sur les images pour les voir en plus gros).



    ↓↓

     

     



    Sur clavier ordinateur avec tour :

     

      →  

     

    Ou touche "fn" + "Inser (impécr syst) :

          +       

    ↓↓↓                               ↓↓↓

     

                     

        Une fois la capture d'écran effectuée avec la touche que tu as sur ton clavier, colle la dans un logiciel photo tel que Paint qui est facile d'utilisation, gratuit et généralement installé sur ton ordinateur depuis le début.


    2 commentaires
  • « Bonjour les amis. Aujourd'hui nous allons aborder le thème des sciences cognitives. Comme c'est un vaste sujet, nous reviendrons dessus avec quelques articles, commence Biguède qui aujourd’hui porte pour le première fois des lunettes. De la fatigue oculaire elle a paraît-il. Déjà qu'avant qu'elle en porte elle avait toutes les caractéristiques d'une intello, mais maintenant je vous laisse imaginer.

    - Et c'est quoi ça encore, demande Crodalle qui dévore un sandwich au thon et crudités qu'il vient savamment de se préparer.

    - Moi je sais, moi je sais, intervient Souffif tout excité. Elles portent sur la manière dont les connaissances se construisent, s’utilisent et se transmettent, nous dit-il fièrement.

    - C'est une approche pluridisciplinaire, à la fois théorique et expérimental, enchaîne Biguède stoïque comme si personne n'était intervenu. Ses champs d'application sont tellement immense qu'il n'est pas évident d'en donner une définition d'autant qu'on peut les appliquer dans de nombreux cas.

    - Quand tu as parlé de faire un article sur le sujet, j'ai visité plusieurs sites, commente Gédéon toujours tiré à quatre épingles et je crois que le plus simple c'est de donner celle-là que j'ai piqué sur un site (clique sur le texte pour avoir le lien) :  les sciences cognitives étudient les mécanismes de la pensée (humaine, animale ou artificielle) pour expliquer le fonctionnement de l’esprit humain. Elles exploitent les données transmises par plusieurs sous-disciplines : la neuroscience, la linguistique, l’anthropologie, la philosophie, la psychologie et l’intelligence artificielle. Sur cette base, le cogniticien travaille sur la compréhension de différents phénomènes, tels que le langage, la mémoire, l’attention, les perceptions ou encore le raisonnement.

    - Ben ça si ça ne s'appelle pas mettre ses pieds dans le plat avec ses grands sabots man, faudra m'expliquer. Vous l'avez certainement reconnu, notre Bob qui sous son apparence flegmatique nous remet bien souvent à notre place.

    - Et bien tout est dit sur mon introduction, je n'ai rien à ajouter pour le moment et j'espère vous avoir mis suffisamment en appétit pour que vous soyez au rende-vous sur la suite de ce sujet très passionnant, conclue Biguède mi-figue, mi-raisin d'avoir eut l'herbe coupé sous le pied.

    - Tu veux en savoir plus en attendant notre prochain article sur le sujet ? Nous t'invitons à visiter ces sites et lire ces PDF que nous te donnons en lien. Nous te souhaitons une bonne semaine, termine Crodalle qui est pressé d'aller dévorer un deuxième sandwich. »




    « 
    Ne restons pas idiot, que j'épilogue. Voici quelques définitions intéressantes dont les idiomes sont utilisés dans cet article :

    - Être tiré à quatre épingle : être habillé de façon très (voire trop) soigneuse. 

    Autrefois, on disait d'une personne bien habillée qu'elle était "bien tirée". Parallèlement, vers le XVe siècle, les "épingles" étaient l'argent de poche que les femmes pouvaient mettre de côté lorsque leur mari leur donnait une petite somme pour leurs courses, ou qu'elles gagnaient d'elles-mêmes de diverses manières. Ainsi, il s'agit certainement d'un rapprochement entre ces deux expressions, comme si on pouvait s'acheter de beaux vêtements et donc être bien habillé grâce aux "épingles" que l'on avait mis de côté. 

    D'autres sources en donnent une autre origine dont en voici un exemple : http://www.expressio.fr/expressions/etre-tire-a-quatre-epingles.php

    Aujourd'hui on dira, être sur son trente et un, être bien nippé...

    - Mettre les pieds dans le plat : Aborder maladroitement un sujet à éviter sans s'en rendre compte, sachant qu'ici notre cher Gédéon vient juste de casser la baraque à Biguède qui était bien heureuse de mener seule cet article sans mon intervention.

    Au XIXe siècle, un "plat" était une vaste étendue d'eaux basses. "Mettre les pieds dans le plat" est à rapprocher de "faire une gaffe" ou "gaffer". En effet, ce verbe signifiait en provençal "patauger dans la boue", autrement dit "dans les eaux basses". Le fond d'un plat, au sens défini précédemment, est souvent boueux et vient troubler la clarté de l'eau lorsqu'on y met les pieds. C'est à ce phénomène que se réfère l'expression, qui signifie qu'une personne aborde maladroitement un sujet à éviter et qu'elle continue à en parler longuement, semant ainsi le malaise chez son auditoire. Le premier sens fut tout d'abord "agir sans aucune discrétion".

    Les autres sites rejoignent cette définition

    - Venir avec ses grands sabots : manquer de discrétion.

    - Être mi-figue, mi-raisin : ou ne pas savoir sur quel pied danser. Être à la fois satisfait et déconfit, content et pas content...

    A la fin du XVe siècle, on disait d’une personne ou d’une chose qu’elle était “mi figue – mi raisin“, pour signifier qu’elle avait à la fois du bon et du mauvais. Le rapprochement de ces deux fruits n’est pas anodin. La figue a en effet toujours eu une connotation négative. De plus, les figues et les raisins étaient les fruits que l’on mangeait lors du Carême ; les raisins ayant toujours été plus appréciés. D’un autre côté, on dit que les marchands de Corinthe qui transportaient les raisins secs y ajoutaient des figues. Depuis, cette expression reflète une situation ou une personne ambiguë. 

    - Ne pas savoir sur quel pied danser : ne pas savoir comment faire, comment réagir.

    Cette expression semble être née vers la fin du XVe siècle où l'on disait "ne savoir de quel pié danser". On a ensuite employé au début du siècle suivant "ne savoir de quel pié aller". La forme actuelle a été adoptée à la même époque, et l'expression signifie que l'on ne sait pas quel comportement adopter vis-à-vis de quelqu'un.

    Sur ces quelques définitions chers amis je vous laisse avec quelques sites à visiter dont vous avez les liens ci-dessous et vous dis à bientôt. »

     

    https://www.usabilis.com/definition-sciences-cognitives/

    http://andler.dec.ens.fr/pdf/90.pdf 

    http://www.oecd.org/fr/sites/learninginthe21stcenturyresearchinnovationandpolicyapprendreauxxiesieclerechercheinnovationetpolitiques/40583325.pdf

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_cognitives


    2 commentaires
  • D'aussi loin que je me souviennes, j'ai côtoyé des guérisseurs ou des rebouteux. Mon père lui-même passait le feu, les verrues, les rages de dents.
    Lorsque nous allions chez le médecin, il nous envoyait directement voir un guérisseur ou un rebouteux dès qu'il s'agissait de panaris, de zona, de problème de peau, de choc physique ou autre qui selon lui seraient mieux pris en charge que par la médecine traditionnelle.
    On ne parlait pas d'effet placebo, on ne parlait pas d'illuminé, de fou ou autre. Il était normal qu'ils fassent partie du paysage.

    Ces choses là fascinaient ; ces gens là étaient respectés.

    Parfois, ils se passaient des techniques dans la tradition ancestrale, parfois il s'agissait d'un don.

    Puis les sciences ont pris de plus en plus d'ampleur. De tout temps on a voulu expliquer, conscientiser et surtout contrôler tout se qui se passe.

    La guérison, ne faisant pas partie de leur champ de contrôle on s'est mit à démolir les gens qui l'a pratique. Selon les époques, les âges ces personnes sont caractérisées de sorciers / sorcières, d'hystériques, de fou ou que sais-je encore.

    Pourtant, je me souviens que lorsque nous allions les voir, ils nous donnaient des remèdes, passaient leur mains sur les parties douloureuses de notre corps et au bout de quelques jours, parfois même instantanément tout s’effaçait.

    Nous avons tous en nous le don de guérison.

    Pour ma part, je l'ai réellement découvert lorsque j'avais 25 ans, mais je l'ai depuis la naissance.

    Très cartésienne, j'ai toujours été sur mes réserves par rapport à mes dons. Malgré cela, ils se sont développés de plus en plus.

    J'ai pour comprendre étudié les sciences cognitives, la psychologie, les neurosciences... Je voulais savoir.

    Aujourd'hui la seule chose que je sais, c'est que si la physique quantique peut expliquer certaines choses, l'épigénétique... on reste très controversé.

    Pourquoi ?

    Peut-être parce que l'on fait de l'ombre aux lobbys ?

    Allez savoir.


    6 commentaires
  • Des semaines que l'on entend parler de cette pièce textile, d'habitude dédiée à la sécurité, qui maintenant est devenue un symbole de contestation des français mécontents. 

    Le crapaud faisant déborder la vase : la hausse du prix des carburants. Au départ il s'agissait d'une proposition d'Emmanuel Macron pour amorcer la transition écologique. Dans l'absolu, pourquoi pas, à La Gazette l'écologie ça nous botte ! Mais que le président propose cela alors qu'il a soutenu le projet d'exploitation d'une mine d'or en Guyane (entre autres, mais celui-ci passe bizarrement très inaperçu !), quelque chose nous dit que l'écologie c'est largement secondaire... Et puis il faut se rendre à l'évidence : quand on ne vit pas dans une ville, se passer de voiture toute polluante soit-elle devient vite compliqué ! (par contre penser au covoiturage plus souvent est une alternative intéressante !)

    Le mouvement de contestation, que l'on pourrait qualifier d'anti-écologique, s'est en fait élargi à la question du pouvoir d'achat de façon globale, avec notamment la différence de traitement entre les classes sociales ; les plus riches bénéficiant de largesses de l'Etat alors que la fraude fiscale des grandes fortunes fait perdre des milliards d'euros chaque année, et les pauvres et les classes moyennes ont de plus en plus de mal à boucler les fins de mois. Profitant de l'impopularité galopante du président, il n'en fallait pas plus pour que des gens s'organisent et contestent : "les gilets jaunes" sont nés. 

    De blocages routiers aux blocages des dépôts pétroliers, le mouvement persiste, malgré les titres des journaux français (parce que d'autres journaux européens ont très bien compris que ça allait plus loin que l'écologie) qui espéreraient presque sa mort et les menaces du gouvernement... Même si les personnes mobilisées sur les barrages sont relativement peu nombreuses et où elles s'exposent à des violences et/ou une très forte répression policière (regards tournés vers La Réunion), on peut constater que le soutien s'amplifie : de plus en plus d'automobilistes disposent leur gilet jaune à leur pare-brise. De quoi mettre un peu de couleur dans le gris de cet hiver ! 

    Petite note "sécurité" : une manifestante savoyarde a été tuée par une automobiliste qui a perdu patience à cause des blocages... On peut comprendre que c'est pénible d'être bloqué.e, mais est-ce que la frustration/le retard/autre vaut la vie de quelqu'un, même si on est pas d'accord avec lui ? Je ramasse les copies dans deux heures... 

    Sources : 

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_des_gilets_jaunes
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/dossier/hausse-des-carburants-manifestation-des-gilets-jaunes
    https://www.20minutes.fr/monde/2378207-20181122-gilets-jaunes-presse-etrangere-raille-emmanuel-macron
    https://www.liberation.fr/france/2018/04/02/mine-d-or-en-guyane-pepite-economique-ou-pepin-ecologique_1640589
    https://www.challenges.fr/tag_lexique-economique/fraude-fiscale_3098/

    Et pour la mine d'or guyanaise, une vidéo qui l'explique très bien par Max Bird : 

    Et une pétition pour l'abandon du projet : ici (cliquez dessus pour y accéder)

     

     


    6 commentaires
  • Fiche d'identité :

    Nom de la divinité : Arès
    Étymologie : Issu du grec ancien Ἄρης / Árês

    Dieux de : La guerre, la destruction
    Attributs : La lance, la hache, le sanglier *

          Images de la divinité      

     

       Arès n'était pas le dieu le plus apprécier dans la mythologie grec. Plusieurs fois, il s'est retrouvé ridiculisé. Le dieu doit, par exemple, s'avoué vaincu par Diomède, un simple mortel, certes inspiré par Athéna. D'ailleurs, la déesse à plusieurs fois montrer plus de valeur guerrière que le dieu, elle réussira même à l'assommer avec une pierre l'ors d'un combat de la guerre de Troie.

       En dehors des mythes Troyens, il est vaincu deux fois par son demi-frère : Héraclès (ou Hercule pour ceux qui ne connaissent pas son nom grec).

       Dans l'Iliade, le dieu est enfermé pendant treize mois dans une jarre de bronze par les Aloades. C'est Hermès que le délivreras.

       Ces surnoms ne laisse pas de doutes sur sa personnalité : « insatiable de guerre, assailleur de remparts, destructeur de cités, pourfendeur de boucliers, meurtrier, buveur de sang, porteur de dépouilles, fléau des hommes ».

       Arès partage son domaine d'intervention avec Athéna. On présente souvent celui-ci comme l'incarnation de l'aspect sauvage, brutal et désordonné du combat, Athéna représentant l'ordre de la bataille, la stratégie et le côté civilisé. Néanmoins, Athéna n'est pas la déesse de la guerre, elle n'en est qu'une forme alors qu'Arès est ni plus ni moins le dieu de la guerre.

       Le dieu n'est pas très aimer des autres sur le mont olympe. Dans l'Iliade, Zeus lui dit même : « Je te hais plus qu'aucun des dieux qui vivent sur l'Olympe Car tu ne rêves que discordes, guerres et combats. » Pourtant, Zeus est le père d'Arès.

    (Sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arès
    Plusieurs livres parlant de la Grèce antique.)

    Résultat de recherche d'images pour "Arès" 


    Les petites * :

    Fonctions du dieu :

    • Dieux de la guerre offensive.
    • De la destruction.
    • De la brutalité.

    Ses attributs sont :

    • La lance, la hache, le casque, le bouclier, le glaive et toutes les armes de l'époques.
    • Le sanglier.

    Principaux lieu de cultes :

    Arès était vénérée à :

    • Sparte
    • Thèbes
    • Acharnes

    1 commentaire