• Les sciences cognitives

    « Bonjour les amis. Aujourd'hui nous allons aborder le thème des sciences cognitives. Comme c'est un vaste sujet, nous reviendrons dessus avec quelques articles, commence Biguède qui aujourd’hui porte pour le première fois des lunettes. De la fatigue oculaire elle a paraît-il. Déjà qu'avant qu'elle en porte elle avait toutes les caractéristiques d'une intello, mais maintenant je vous laisse imaginer.

    - Et c'est quoi ça encore, demande Crodalle qui dévore un sandwich au thon et crudités qu'il vient savamment de se préparer.

    - Moi je sais, moi je sais, intervient Souffif tout excité. Elles portent sur la manière dont les connaissances se construisent, s’utilisent et se transmettent, nous dit-il fièrement.

    - C'est une approche pluridisciplinaire, à la fois théorique et expérimental, enchaîne Biguède stoïque comme si personne n'était intervenu. Ses champs d'application sont tellement immense qu'il n'est pas évident d'en donner une définition d'autant qu'on peut les appliquer dans de nombreux cas.

    - Quand tu as parlé de faire un article sur le sujet, j'ai visité plusieurs sites, commente Gédéon toujours tiré à quatre épingles et je crois que le plus simple c'est de donner celle-là que j'ai piqué sur un site (clique sur le texte pour avoir le lien) :  les sciences cognitives étudient les mécanismes de la pensée (humaine, animale ou artificielle) pour expliquer le fonctionnement de l’esprit humain. Elles exploitent les données transmises par plusieurs sous-disciplines : la neuroscience, la linguistique, l’anthropologie, la philosophie, la psychologie et l’intelligence artificielle. Sur cette base, le cogniticien travaille sur la compréhension de différents phénomènes, tels que le langage, la mémoire, l’attention, les perceptions ou encore le raisonnement.

    - Ben ça si ça ne s'appelle pas mettre ses pieds dans le plat avec ses grands sabots man, faudra m'expliquer. Vous l'avez certainement reconnu, notre Bob qui sous son apparence flegmatique nous remet bien souvent à notre place.

    - Et bien tout est dit sur mon introduction, je n'ai rien à ajouter pour le moment et j'espère vous avoir mis suffisamment en appétit pour que vous soyez au rende-vous sur la suite de ce sujet très passionnant, conclue Biguède mi-figue, mi-raisin d'avoir eut l'herbe coupé sous le pied.

    - Tu veux en savoir plus en attendant notre prochain article sur le sujet ? Nous t'invitons à visiter ces sites et lire ces PDF que nous te donnons en lien. Nous te souhaitons une bonne semaine, termine Crodalle qui est pressé d'aller dévorer un deuxième sandwich. »




    « 
    Ne restons pas idiot, que j'épilogue. Voici quelques définitions intéressantes dont les idiomes sont utilisés dans cet article :

    - Être tiré à quatre épingle : être habillé de façon très (voire trop) soigneuse. 

    Autrefois, on disait d'une personne bien habillée qu'elle était "bien tirée". Parallèlement, vers le XVe siècle, les "épingles" étaient l'argent de poche que les femmes pouvaient mettre de côté lorsque leur mari leur donnait une petite somme pour leurs courses, ou qu'elles gagnaient d'elles-mêmes de diverses manières. Ainsi, il s'agit certainement d'un rapprochement entre ces deux expressions, comme si on pouvait s'acheter de beaux vêtements et donc être bien habillé grâce aux "épingles" que l'on avait mis de côté. 

    D'autres sources en donnent une autre origine dont en voici un exemple : http://www.expressio.fr/expressions/etre-tire-a-quatre-epingles.php

    Aujourd'hui on dira, être sur son trente et un, être bien nippé...

    - Mettre les pieds dans le plat : Aborder maladroitement un sujet à éviter sans s'en rendre compte, sachant qu'ici notre cher Gédéon vient juste de casser la baraque à Biguède qui était bien heureuse de mener seule cet article sans mon intervention.

    Au XIXe siècle, un "plat" était une vaste étendue d'eaux basses. "Mettre les pieds dans le plat" est à rapprocher de "faire une gaffe" ou "gaffer". En effet, ce verbe signifiait en provençal "patauger dans la boue", autrement dit "dans les eaux basses". Le fond d'un plat, au sens défini précédemment, est souvent boueux et vient troubler la clarté de l'eau lorsqu'on y met les pieds. C'est à ce phénomène que se réfère l'expression, qui signifie qu'une personne aborde maladroitement un sujet à éviter et qu'elle continue à en parler longuement, semant ainsi le malaise chez son auditoire. Le premier sens fut tout d'abord "agir sans aucune discrétion".

    Les autres sites rejoignent cette définition

    - Venir avec ses grands sabots : manquer de discrétion.

    - Être mi-figue, mi-raisin : ou ne pas savoir sur quel pied danser. Être à la fois satisfait et déconfit, content et pas content...

    A la fin du XVe siècle, on disait d’une personne ou d’une chose qu’elle était “mi figue – mi raisin“, pour signifier qu’elle avait à la fois du bon et du mauvais. Le rapprochement de ces deux fruits n’est pas anodin. La figue a en effet toujours eu une connotation négative. De plus, les figues et les raisins étaient les fruits que l’on mangeait lors du Carême ; les raisins ayant toujours été plus appréciés. D’un autre côté, on dit que les marchands de Corinthe qui transportaient les raisins secs y ajoutaient des figues. Depuis, cette expression reflète une situation ou une personne ambiguë. 

    - Ne pas savoir sur quel pied danser : ne pas savoir comment faire, comment réagir.

    Cette expression semble être née vers la fin du XVe siècle où l'on disait "ne savoir de quel pié danser". On a ensuite employé au début du siècle suivant "ne savoir de quel pié aller". La forme actuelle a été adoptée à la même époque, et l'expression signifie que l'on ne sait pas quel comportement adopter vis-à-vis de quelqu'un.

    Sur ces quelques définitions chers amis je vous laisse avec quelques sites à visiter dont vous avez les liens ci-dessous et vous dis à bientôt. »

     

    https://www.usabilis.com/definition-sciences-cognitives/

    http://andler.dec.ens.fr/pdf/90.pdf 

    http://www.oecd.org/fr/sites/learninginthe21stcenturyresearchinnovationandpolicyapprendreauxxiesieclerechercheinnovationetpolitiques/40583325.pdf

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_cognitives


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  • Commentaires

    1
    Lundi 26 Novembre 2018 à 11:50

    ce fameux  cerveau  que d' aucuns aimeraient  tant  pouvoir transformer en robot !

     Il faut  juste  se demander ce qui  fait la différence entre  l' humain  et les primates, quelque chose du genre esprit  et  âme !

     Bonne  journée

     Bises

      • Lundi 26 Novembre 2018 à 12:26

        Bonjour et merci pour ton assiduité à nous suivre

        Penses-tu que les animaux n'ont pas d'âmes ?

        Pour ma part, je pense que ce qui nous distingue c'est notre façon de communiquer et notre évolution qui nous permet aujourd'hui de partager à travers ce blog.
        Mais quand je regarde le monde qui nous entoure et le comportement de nos congénères, je me dis que nous ne sommes pas si évolués que ça ; juste des animaux avec un smartphone entre les mains ;-)

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