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Par Catline111 le 11 Mars 2019 à 16:42
Citation de B.A. Behrend, président de l’American Institute of Electrical Engineers, a dit à propos de Tesla : « Si nous devions saisir et éliminer de notre monde industriel les résultats des travaux de monsieur Tesla, les roues de l’industrie s’arrêteraient, les trains seraient immobilisés, nos villes seraient jetées dans la pénombre et nos usines seraient mortes […] Son nom marque une époque dans l’avancement de la science électrique. De ce travail jaillit une révolution. »
Nikola Tesla était un ingénieur électricien et mécanicien – ainsi qu’un physicien – serbe. Il est né le 10 juillet 1856 et mort le 7 janvier 1943. Il fut l’inventeur le plus prolifique jamais connu, avec 900 brevets déposés, sans compter les nombreux travaux qu’il n’a jamais brevetés et ceux qu’on lui a usurpés.
Parmi ses inventions, on peut compter :
- Le courant alternatif :Nikola Tesla a permis l’adoption généralisée du courant électrique alternatif, notamment grâce à la mise au point d’un moteur fiable et économique générant du courant alternatif polyphasé.
Le courant alternatif pouvait plus facilement se transmettre sur de longues distances mais il n’existait alors pas de générateur économique pour générer ce type de courant.- La transmission sans fil de l’énergie : L’un des rêves principaux de Tesla, et peut-être sa plus grande déception, fut la création d’un réseau de transmission mondial sans fil d’une énergie gratuite, qui serait extraite de l’air
Il observa pour la première fois les fréquences de résonance de la terre (résonance de Schumann) qui ne seraient vraiment étudiées qu’à partir des années 1960. Il parvint également à allumer des lampes à plusieurs kilomètres de distance en faisant transiter l’énergie par le sol.- La radio : Tesla contribua significativement au développement de la radio. Il détailla dès les années 1890 les principes de la radiodiffusion et déposa plusieurs brevets concernant notamment des transmetteurs et récepteurs sans fils.
La Cour suprême reconnut la contribution de Tesla au développement de la radio après sa mort.- Les rayons X : Tesla réalisa en 1894, par inadvertance, la première photographie aux rayons X des Etats-Unis lors d’une séance photo organisée avec un tube de Geissler (précurseur des tubes à Rayons X) dans son laboratoire, en présence de l’écrivain Marc Twain... il réalisa même des images du corps. L'incendie de son labo, mit un terme momentané à ses recherches
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Par Catline111 le 10 Mars 2019 à 16:14
L'étude des lois cosmiques exclut en principe toute notion de hasard. Cependant, une des erreurs ; qui ont souvent porté tord à l'astrologie ; est à penser qu'il existe pour chacun une destinée incontournable, un destin immuable.
S'il semble que certaines échéances semblent sonner à l'horloge cosmiques ; comme si, depuis des lustres tout était écrit ; il existe des exceptions qui affecte ou pas certaines personnes.
Pourquoi ?
En fait, la tradition dit :
« les astres inclinent mais ne disposent pas »
Ainsi, chacun est maître de sa destinée ; pour peu qu'il soit conscient de ses forces et de ses faiblesses ; et surtout grâce à sa volonté.
La volonté, dans le thème natale, est représenté par le soleil. Tout tourne autour de cette étoile, de la lune si mouvante et si capricieuse jusqu'au lointain pluton. En conséquence, quand bien même vous traversez des questions difficiles, n'oubliez jamais que la force et la volonté est seule capable de vous éclairer, tout comme le soleil illumine le ciel.
Voici quelques représentations du zodiaque. En suivant le lien, vous en trouverez plein d'autres assez extraordinaires.
L'astrologie inspirait les aztèque et les mayas et ces derniers ont inspirés nombre de prédictions fumeuses comme celle de la fin du monde en 2012.
Comme tout, il est délicat de faire la part des choses et à la même façon que les premières acides aminés qui ont permis la vie sur Terre semble venir de l'espace, on peut se demander jusque dans quelle mesure effectivement les astres ne nous influencerait pas...
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Par Catline111 le 23 Janvier 2019 à 08:55
Ce phénomène amusant que nous connaissons tous : vois des formes dans les nuages, dans la nature, dans la vie de tous les jours a un nom : la paréodolie. Cette petite explication ci-dessous vous éclairera un peu plus et vous donnera un lien vers d'autres photos. En attendant, voici quelques clichés que nous avons pris et qui en sont de bons exemple.
N'hésitez pas à nous dire ce que vous, vous voyez.
Cliquez sur les images pour les voir dans le bon sens.
Pour ceux qui veulent aller plus loin : une thèse sur la dynamique du traitement des visage , un lien vers la boîte verte et un lien vers wikipedia
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Par Catline111 le 21 Décembre 2018 à 08:29
« Bonjour les amis, un topic chez Dom86 nous a amené à faire une petite enquête sur les véhicules électriques, annonce Souffif.
- Savez-vous que le premier véhicule de ce type est apparut en 1830 ? Nous demande Biguède. Depuis cela n'a cessé d'évoluer mais nous sommes encore loin du véhicule idéal ; poursuit-elle.
- Il est tout de même essentiel de noter l'absence de pollution de ce type de véhicule, autant sonore qu'en ce qui concerne les émanations : Zéro CO2 quand il roule, entonne Gédéon.
- Ces autres avantages sont l'absence de boîte de vitesse ; d'embrayage qui fait que ça ne cale jamais, et l'entretien limité (pas de vidange, pas de contrôle pollution...), nous dit Crodalle complètement fan de ces véhicules.
- Et en plus ça démarre au quart de tour et utilise « une énergie propre » qui coûte moins de 2€ au 100 kilomètres, embraye Souffif de plus en plus convaincu.
- Le moteur électrique est très performant, son rendement théorique avoisine 100 % contre 35 % pour les moteurs thermiques, poursuit Biguède complètement absorbé par le sujet.
- Il n'en reste pas moins que pour le moment ce moteur n'est pas tout à fait au point, que je mets les pieds dans le plat. Tout d'abord en terme d'autonomie : cela varie entre 80 km et 500 km selon les modèles. Et cela c'est sans parler du coût d'achat qui certes est réduit par les primes gouvernementales mais qui reste élevé et non accessible à des petits budgets ! Que je poursuit agacée par l'excitation des mes amis qui ne sont absolument pas objectifs sur le sujet.
- C'est vrai, enchaîne Gédéon, le seul qui garde un œil ouvert sur le sujet ; Il y a aussi le problèmes des batteries.
- Oui, tu as raison, dit Biguède qui reprend un peu ses esprits. Il faut prendre en compte différents impacts ; de sa conception (notamment la production des batteries), en passant par son utilisation (avec la prise en compte des émanations produites par les centrales électriques, nécessaires à la recharge des mêmes batteries) et son recyclage (difficile, notamment toujours à cause des batteries, très polluantes). En fait pour le moment, l'impact global est comparable à celui des véhicules thermiques, nous dit-elle déconfite de s'être laissé emporté par le sujet sans en voir tous les aspects.
- Ensuite, il y a un ordinateur de bord pour orchestrer tout ça, alors si tu fais des économies avec l'entretien du moteur, bonjour la facture lorsque ça bug, sans compter les éventuels piratages, les traçages, etc... finit la vie privée... que je poursuit pas encore convaincu par ces nouveaux véhicules même si me tient à cœur la lutte contre la pollution.
- Il n'empêche Bien que les batteries soient parfois encore perçues comme un point faible, les développements technologiques en pleine progression laissent entrevoir de gros progrès à court terme sur leur poids, leur rendement, une production et un recyclage plus écologique grâce à l’emploi de nouveaux matériaux ; poursuit Souffif qui ne se laisse pas démonter par ces derniers propos.
- Exactement, poursuit Crodalle tout content de suivre la route tracée par Souffif. D’autres voies, déjà explorées, pourraient améliorer ce principe de fonctionnement (hydrogène, supercondensateurs) ou le remplacer (moteur à air comprimé par exemple).
- Soyons réaliste, de grands progrès sont encore à faire et tout ça une fois de plus au service des lobbys, ne l'oubliez pas ! Car il faut garder à l'esprit que le moteur à eau, qui lui est zéro pollution et ne pose pas le problème de recyclage a été bien trop mit au rayon des oubliettes... et je peux vous assurer que ce n'est pas un mythe. Alors garder l'esprit ouvert et ne tombez pas dans le piège d'un autre risque de pollution planétaire... que je conclue sur le qui-vive. Ah aussi, tapez dans votre moteur de recherche « voiture électrique petit budget ... »Sources :
https://achat-voiture.ooreka.fr/astuce/voir/749599/fonctionnement-de-la-voiture-electrique
http://www.avem.fr/?page=vep-elec&kind=soon
https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/voiture-electrique
https://sites.google.com/site/waag78/la-voiture-dans-son-utilisation/-utiliser-une-voiture
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Par Catline111 le 26 Novembre 2018 à 10:36
« Bonjour les amis. Aujourd'hui nous allons aborder le thème des sciences cognitives. Comme c'est un vaste sujet, nous reviendrons dessus avec quelques articles, commence Biguède qui aujourd’hui porte pour le première fois des lunettes. De la fatigue oculaire elle a paraît-il. Déjà qu'avant qu'elle en porte elle avait toutes les caractéristiques d'une intello, mais maintenant je vous laisse imaginer.
- Et c'est quoi ça encore, demande Crodalle qui dévore un sandwich au thon et crudités qu'il vient savamment de se préparer.
- Moi je sais, moi je sais, intervient Souffif tout excité. Elles portent sur la manière dont les connaissances se construisent, s’utilisent et se transmettent, nous dit-il fièrement.
- C'est une approche pluridisciplinaire, à la fois théorique et expérimental, enchaîne Biguède stoïque comme si personne n'était intervenu. Ses champs d'application sont tellement immense qu'il n'est pas évident d'en donner une définition d'autant qu'on peut les appliquer dans de nombreux cas.
- Quand tu as parlé de faire un article sur le sujet, j'ai visité plusieurs sites, commente Gédéon toujours tiré à quatre épingles et je crois que le plus simple c'est de donner celle-là que j'ai piqué sur un site (clique sur le texte pour avoir le lien) : les sciences cognitives étudient les mécanismes de la pensée (humaine, animale ou artificielle) pour expliquer le fonctionnement de l’esprit humain. Elles exploitent les données transmises par plusieurs sous-disciplines : la neuroscience, la linguistique, l’anthropologie, la philosophie, la psychologie et l’intelligence artificielle. Sur cette base, le cogniticien travaille sur la compréhension de différents phénomènes, tels que le langage, la mémoire, l’attention, les perceptions ou encore le raisonnement.
- Ben ça si ça ne s'appelle pas mettre ses pieds dans le plat avec ses grands sabots man, faudra m'expliquer. Vous l'avez certainement reconnu, notre Bob qui sous son apparence flegmatique nous remet bien souvent à notre place.
- Et bien tout est dit sur mon introduction, je n'ai rien à ajouter pour le moment et j'espère vous avoir mis suffisamment en appétit pour que vous soyez au rende-vous sur la suite de ce sujet très passionnant, conclue Biguède mi-figue, mi-raisin d'avoir eut l'herbe coupé sous le pied.
- Tu veux en savoir plus en attendant notre prochain article sur le sujet ? Nous t'invitons à visiter ces sites et lire ces PDF que nous te donnons en lien. Nous te souhaitons une bonne semaine, termine Crodalle qui est pressé d'aller dévorer un deuxième sandwich. »
« Ne restons pas idiot, que j'épilogue. Voici quelques définitions intéressantes dont les idiomes sont utilisés dans cet article :- Être tiré à quatre épingle : être habillé de façon très (voire trop) soigneuse.
Autrefois, on disait d'une personne bien habillée qu'elle était "bien tirée". Parallèlement, vers le XVe siècle, les "épingles" étaient l'argent de poche que les femmes pouvaient mettre de côté lorsque leur mari leur donnait une petite somme pour leurs courses, ou qu'elles gagnaient d'elles-mêmes de diverses manières. Ainsi, il s'agit certainement d'un rapprochement entre ces deux expressions, comme si on pouvait s'acheter de beaux vêtements et donc être bien habillé grâce aux "épingles" que l'on avait mis de côté.
D'autres sources en donnent une autre origine dont en voici un exemple : http://www.expressio.fr/expressions/etre-tire-a-quatre-epingles.php
Aujourd'hui on dira, être sur son trente et un, être bien nippé...
- Mettre les pieds dans le plat : Aborder maladroitement un sujet à éviter sans s'en rendre compte, sachant qu'ici notre cher Gédéon vient juste de casser la baraque à Biguède qui était bien heureuse de mener seule cet article sans mon intervention.
Au XIXe siècle, un "plat" était une vaste étendue d'eaux basses. "Mettre les pieds dans le plat" est à rapprocher de "faire une gaffe" ou "gaffer". En effet, ce verbe signifiait en provençal "patauger dans la boue", autrement dit "dans les eaux basses". Le fond d'un plat, au sens défini précédemment, est souvent boueux et vient troubler la clarté de l'eau lorsqu'on y met les pieds. C'est à ce phénomène que se réfère l'expression, qui signifie qu'une personne aborde maladroitement un sujet à éviter et qu'elle continue à en parler longuement, semant ainsi le malaise chez son auditoire. Le premier sens fut tout d'abord "agir sans aucune discrétion".
Les autres sites rejoignent cette définition
- Venir avec ses grands sabots : manquer de discrétion.
- Être mi-figue, mi-raisin : ou ne pas savoir sur quel pied danser. Être à la fois satisfait et déconfit, content et pas content...
A la fin du XVe siècle, on disait d’une personne ou d’une chose qu’elle était “mi figue – mi raisin“, pour signifier qu’elle avait à la fois du bon et du mauvais. Le rapprochement de ces deux fruits n’est pas anodin. La figue a en effet toujours eu une connotation négative. De plus, les figues et les raisins étaient les fruits que l’on mangeait lors du Carême ; les raisins ayant toujours été plus appréciés. D’un autre côté, on dit que les marchands de Corinthe qui transportaient les raisins secs y ajoutaient des figues. Depuis, cette expression reflète une situation ou une personne ambiguë.
- Ne pas savoir sur quel pied danser : ne pas savoir comment faire, comment réagir.
Cette expression semble être née vers la fin du XVe siècle où l'on disait "ne savoir de quel pié danser". On a ensuite employé au début du siècle suivant "ne savoir de quel pié aller". La forme actuelle a été adoptée à la même époque, et l'expression signifie que l'on ne sait pas quel comportement adopter vis-à-vis de quelqu'un.Sur ces quelques définitions chers amis je vous laisse avec quelques sites à visiter dont vous avez les liens ci-dessous et vous dis à bientôt. »
https://www.usabilis.com/definition-sciences-cognitives/
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