• Bonjour,

    Les couacs de la Gazette

    Nous pensons tous que les vacances sont de tout repos et que de ce fait nous avons le temps de faire bien des choses. Moi-même, j'en étais persuadée. C'est en me lançant dans cette gazette qui me tiens à cœur que je me suis rendue compte que pas du tout.


    Tout d'abord nous devons gérer une équipe qui ne répond pas toujours présente à l'appel et, qui a, elle-même des petits problèmes d'organisation. Nous sommes peu nombreux et avons tous (enfin pour les plus « grands ») un emploi du temps bien chargé.

    Ensuite, il faut gérer les imprévus et ça n'est pas toujours évident ! 

    Ce mois d’août nous a montré à quel point ce n'est pas toujours simple de mener à bien une gazette et du coup, je n'ai pas vraiment assuré pour rendre les articles à temps; puisque mes journalistes n'avaient pas rendu leur travail. 

    Pourtant vaille que vaille nous maintenons le navire à flot et retroussons nos manches pour remplir nos promesses et faire de notre mieux pour que les prochaines gazettes répondent à vos attentes.


    En attendant, toute l'équipe vous présente ses excuses pour les couacs de ces deux premiers mois d'existence de notre gazette.


     

    Un article de Aegea et de Catline111

     


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  • D'un loup solitaire provint l'appel

    Cherchant à consoler son âme en peine

    Dans le froid prenant de la nuit,

    C'est à la lune, qu'il demande une autre vie.

     

    Son souffle chaud est marqué de vapeur.

    Dans la lumière de la lune s'enfuit la pénombre

    Il cherche un ami pour animé son cœur

    Alors même qu'il cache un secret sombre :

     

    Il as peur, alors qu'on le chasse, qu'on le fuit

    De son coter, il as fait autant toute sa vie.

    Le loup cherche ou se réfugier

    Sans jamais, des hommes, un refuge trouver.

     

    Et c'est auprès de la mort,

    Qu'il tient sa liberté.

    Quand il meut, il est rongé par tous ses remords

    Car quand il as perdu son dernier souffle de vie

    C'était lorsque qu'il était chassé

    Pour des actes qu'il n'avais point commis.

     

    Et c'est alors qu'il part, alors que sa vie défile,

    Qu'il se dit que fuir était inutile.

    Il aurait du mourir, au moins, en ayant

    Commis un des actes effrayants

    Dont tous au long de sa vie; on l'accusait,

    Et non mourir pour rien, as n'avoir rien fait

    Mourir alors que de peur, il fuyait.

     

    Voilà donc le secret du loup

    Cet animal à beau te faire peur

    Lui aussi à peur de nous

    Et finalement, il cherche juste un peu de chaleur.


    Un poème écrit par Aegea
    Tout droits réservés.

     


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